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  • Tous les prénoms utilisés dans la description de ma pratique sont nécessairement fictifs. De même, certains détails (jours, lieux..) de récits sont modifiés, ceci afin de respecter l'anonymat des personnes.

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03/08/2006

Commentaires

isabel

Merci d'écrire "Parlez-nous de votre liberté."
Car encore aujourd'hui, alors qu'il est possible de choisir d'être ou non parent, le fait de na pas souhaiter l'être peut être ressenti comme un fardeau.
Lors des rencontres familiales ou amicales, revient toujours l'éternelle question : "Et vous, c'est pour quand le bébé ?", comme si la vie n'avait pas de sens sans enfant, comme si tout gravitait autour d'eux. Peut-être pour certaines..., pas pour moi.

Marya

Je rejoins tout à fait le commentaire d'Isabel.
J'ai pendant longtemps entendu le même son de cloche "et toi, tu ne veux pas d'enfant ?" (Question souvent amené par des femmes, mères) et d'entendre ma famille, et mes parents espérer avoir une descendance.... Bref, je crois qu'en ce qui me concerne le "désir", ou plutôt l'idée (le terme est plus juste), elle a émergé vers mes 25 ans. Pourquoi ? Je pense que cela était davantage dans un souci de normatif plutôt que celui d'un désir profond. Peut-être était-ce la jeunesse, un imaginaire angélique, idéalisant le joli tableau dans lequel j'aurais pu m’afficher. Mais selon moi, la raison la plus probable, et probablement mon principal soucis, était le bonheur de mes parents.
Le temps a passé, aujourd'hui à 37 ans, l'envie n'est plus là, et je crois qu'en fait pour être honnête avec moi-même elle ne l'a jamais été.
Je suis une femme, certes, et je ne me sens pas moins femme en n'ayant pas enfanté.
Je suis une femme à part entière.

L'EDUC

Merci pour vos témoignages, vous trouverez un billet, rédigé ce jour sur le même sujet sur le site Alterenfance :
http://www.alterenfance.fr/
L'EDUC.

Jacques Benoit

1000.0000.0000 fois BRAVOS !

Carla

"La reconnaissance, la maturité ne seraient-elles pas livrées avec le statut social de mère ?" MERCI BEAUCOUP pour vos propos !!! Vraiment. La femme sans enfant est, au mieux, vue comme une éternelle adolescente, au pire, comme une égoïste. Nous sommes vraiment très nombreux sur Terre : il y a beaucoup de monde à aimer et à aider : le véritable égoïsme c'est l'amour hystérique et souvent aveugle des mères pour "la chair de leur chair". Il y a tellement de vivants à aimer ! Pourquoi avoir besoin de quelqu'un "à son image" (tiens tiens... ça me rappelle quelque chose...) pour tout donner ? D'après moi, les femmes qui veulent à tout prix avoir un enfant connaissent un ennui existentiel terrible. Il y a pourtant tant de choses à faire dans notre courte vie ! Mais chacun est libre... de s'aliéner... L'image de la femme n'est toujours pas dissociée de la faculté de pondre (désolée, c'est plus fort que moi). Cet archaïsme est navrant.

L'EDUC

Merci pour vos commentaires, ne pensez-vous qu'il devrait y avoir plus de lieu pour s'exprimer autour de sujets si peu parlés ?
L'EDUC.

Mercedes

C'est égoiste de ne pas avoir d'enfants et c'est aussi egoiste d'en avoir....c'est un dileme. J'ai l'impression que la plupart des gens font des enfants par habitude, ils se marierent et eurent beaucoup d'enfants, c'est un peu reducteur comme concept du bonheur. On peut être heureux seuls, on peut rendre son entourage heureux également. Puis quelle responsabilité que celle d'enfanter. Je me pose actuellement la question, comment mener ma vie? Avec ou sans enfants? Et plus j'y pense plus la conclusion de ne pas en faire s'impose. Il me semble que la plupart du temps c'est la sociéte qui impose la famille comme unique modèle de reussite. Un couple sans enfants est soit critiqué soit plaint. On a le choix ici et maintenant, et ce choix n'est ni bon ni mauvais il depend seulement de ce que l'on veut faire de sa vie.

Jacques De Paoli

Un propos à propos ou hors propos.
La femme est un être paradoxal. Elle se plaint toujours et partout du machisme, des inégalités hommes/femmes, des brutalités de ceux-ci sur celles-là... Et elles ont raison! Mais bon sentiment, pourquoi toujours et toujours enfanter des garçons et des filles qui connaîtront les mêmes problèmes? Pourquoi ne pas s'arrêter une bonne fois pour toute! Paradoxale la femme? Non. Une sainte ou plus tôt ou une missionnaire. Elle se sent investie d'une tâche. Et elle l'assume au point d'en subir des conséquences qu'aussitôt elle combat...
J'en termine là avec ce discours au quatrième degré.

Marie STEIN

J'ai 28 ans. Je n'éprouve pas le désir de faire un enfant. Je n'en ai pas peur, je ne crains pas d'être une mauvaise mère, bien au contraire je pense que je ferais une super maman.
Mais, je n'ai aucune envie d'en avoir un. Je n'éprouve pas cet "appel du ventre" qui serait impérativement présent dans chaque femme. Pour moi "le besoin maternel" est une mythologie. D'ailleurs, des tas d'hommes ne désirent pas d'enfants et personne ne trouve à y redire. Je pense que ma vie vaut la peine d'être vécue et qu'elle est belle, et qu'elle n'est pas plus inutile qu'une autre. Si un jour je décidais de faire un enfant, ce serait plus lié à l'amour que j'aurais pour un compagnon en particulier, mais sinon, je vois très bien ma vie sans.

L'EDUC

Merci Marie pour ce témoignage, je partage complètement votre point de vue concernant ce fameux "désir" ou "besoin" d'une femme d'avoir un enfant. Tout comme l'amour maternel, il n'y a rien d'inné à tout cela. Il suffit de regarder l'histoire pour comprendre qu'il ne s'agit que de normes sociales liées à une époque. L'éducation que nous reçevons et l'environnement sociétal dans lequel nous grandissons nous façonnent bien plus que nous le pensons. Qui a dit que nous étions libres ?
L'EDUC

Delphine

Je suis une maman très heureuse, très épanouie, hyper chargée entre plein temps et enfants. Je suis de profession cadre sup. et régulièrement j'entends un discours analogue sur de femmes qui considèrent la maternité comme un aliènement et l'éducation comme une tache inférieurement intellectuellement. Pourtant, j'ai l'impression d'avoir beaucoup progressé depuis que j'ai des enfants. Moi la bonne élève qui a bien réussi, je me suis retrouvée en apprentissage avec des êtres qui n'ont pas les moyens de s'exprimer. Je me suis adaptée, plantée parfois, pleurée. J'ai pris l'habitude de me faire critiquer régulièrement parce que je n'avais pas maitriser le cri d'un enfant ... Mon égo a considérablement pris une claque. Mon couple a résisté et au contraire s'est soudé non sans crise. Mais voilà, avec les enfants, le rationnel, la perfection n'existent plus et c'est encore mieux comme ça. Je ne suis pas à temps partiel. Je continue mon chemin professionnel. Je conçois qu'on peut se donner à d'autres causes qu'aux enfants. Mais je trouve que celles qui tiennent des propos pseudo féministes ne participent que très peu à des oeuvres ou à leurs proches. J'aurais pu adopter. Qu'ils soient le sang de mon sange ne m'intéresse pas. Je ne suis pas gaga devant mes enfants. Simplement j'ai un devoir. Je veux simplement qu'ils soient heureux, généreux et respectueux et ACTIF dans notre société.

V.

je crois que les mères au foyer ont un QI inférieur aux autres femmes.

L'EDUC

Bonjour V,

Ou votre message est à prendre au 3è degré ou bien reconnaissez que votre jugement est à la fois hatif et radical ! Il n'y a pas, en effet, de jugement à porter sur des choix de vie.

Certaines femmes veulent se consacrer exclusivement à l'éducation de leurs enfants, d'autres souhaitent s'investir aussi dans un projet professionnel.

Ce qui est bien regrettable c'est qu'elles ont bien souvent un choix à faire entre les deux, choix qui souvent ne s'impose qu'à la mère, culpabilisée !

Preuve est donc que s'il y a eu évolution au cours des 50 dernières années, elle ne s'est faite qu'en surface. Nous sommes encore loin d'une organisation sociétale et au sein du foyer où père et mère s'organisent pour pouvoir avoir un minimum de présence auprès de leurs enfants tout en ayant une carrière et de l'avenir dans celle-ci.

Cordialement.
I. BB

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